MODESTIM

Parole de chanson Douces mamans

Il existe un être comme toi et moi certes,
Qui est cher à tes yeux, que tu aimes et tu respectes,
Qui t'a appris ce que tu dois faire et ne pas faire
Pour t'éviter à tout prix le feu ardent de l'enfer,
Qui s'est dévoué à chaque instant, à chaque moment,
Qui, aujourd'hui encore, à chaque instant, tu appelles « maman »,
Que tu aimes et aimeras, car elle t'aime et t'aimera.
Tu accepteras d'elle la morale jusqu'au jour où elle mourra.
Quand tu pleurais la nuit, elle venait à toi pour te soutenir.
Elle te disait « mon fils, je reste avec toi pour t'endormir ».
Epuisée elle était, mais pour elle tu étais
Ce que les gens appelaient son sang et sa chair.

Refrain :
Douces mamans, on ne vous oublie pas.
Ces doux moments qui ne s'oublient pas.
Je ferai ce que je peux, oui je ferai de mon mieux
Pour que tu sois heureuse.
Douces mamans, on ne vous oublie pas.
Ces doux moments qui ne s'oublient pas.
Je demande à Dieu, je demande pour nous deux
Qu'Il nous fasse mourir vertueux.

Pour ton éducation, elle s'est demandée si elle a su faire.
Parfois, elle pleurait, dans ces moments durs où elle a souffert.
Sans te le faire ressentir, sans que tu puisses le sentir.
Et pour tout cela, aujourd'hui, on l'admire.
Elle a appris le bien pour te le remettre entre les mains.
Ce bien très cher, bien plus cher que le plus cher de tous nos biens.
Elle s'est dévouée corps et âme pour la perle de son coeur,
Pour que l'amour de l'Islam soit à jamais dans son coeur.
Tous ces mots doux qu'elle t'apprenait pour la politesse
Résonnent encore comme les histoires que contait cette poétesse.

Refrain
Il existe un être comme toi et moi certes,
A la différence près, qu'il s'est levé chaque nuit ou presque,
Qui t'a appris ce que tu dois faire et ne pas faire
Pour t'éviter à tout prix le feu ardent de l'enfer.
Elle t'a appris que le mensonge n'était pas sain,
Que le bon comportement était de rigueur au quotidien.
Elle t'a appris à remercier Dieu à tout moment
Pour la nourriture que nous mangeons et l'air que nous respirons.
Combien de fois elle t'a dit qu'il fallait être brave,
Dans les situations difficiles, lorsque l'heure est grave,
Qu'il fallait souvent dans cette vie s'armer de courage.
Pour surmonter les épreuves, soit humble, modeste et sage.
Elle t'a montré les erreurs à ne pas refaire.
Se fier à Dieu notre Seigneur et ne pas s'en faire.
Pour ton grand bien choisis toujours des amis vertueux
Car l'ami pieux t'emmènera, mon fils, vers ce qu'il y a de mieux.
Elle t'a parlé des valeurs et des grandeurs du Paradis.
Elle t'a parlé du monde céleste et, d'autre part, a dit
Qu'il n'existe qu'un Dieu, Créateur des terres, des cieux,
Et que Celui Qui crée les lieux n'est évidemment dans aucun d'eux.